The most agile in class 8
With a century of experience and state-of-the-art technical know-how, the Gillion Group has developed an interdisciplinary approach that begins with careful design, continues with a qualitative construction phase, and ends with successful commercialization.
The optimal version of the project
Each building requires an individual solution adapted to the desired objectives and its environment. Before starting construction, Gillion Development endeavors to grasp the essence of the project to design a coherent whole that is then developed in all its subtle details.

A network of experts
The Gillion Group has the scale and reliability to ensure that projects of various sizes and types are within its capabilities. Its teams composed of experts and skilled workers are agile and responsive, able to make decisions consistent with the realities of the construction site, to ensure impeccable execution.


Site management
As the nerve center of construction, the site is the place where each project takes shape. By focusing on this key area, Gillion has created standalone, proactive outposts to guarantee complete control over costs, time, and resources.
Historical references
Les Galeries de la Toison d'Or
Les Galeries de la Toison d'Or consituent un important centre commercial en plein coeur de Bruxelles. La construction initiale des Galeries se fit en de nombreuses phases, au fur et à mesure des acquisitions par la Famille Gillion des différents bâtiments existants, pour s'étendre au final entre l'avenue de la Toison d'Or, la rue de Stassart et la Chaussée d'Ixelles. Les Galeries disposaient d'une galerie haute et d'une galerie basse se supposant et s'enchevêtrant. Elles ont constitué jusqu'au milieu des années 2000 un patrimoine historique pour la Famille Gillion.
Une première transformation importante fut réalisée avec l'aménagement du cinéma UGC comprenant la réalisation des salles de cinéma dans les sous-sols des Galeries. Ces salles sont parfaitement intégrées dans le bâti existant. Elles furent un réel défi technique vu leur réalisation dans une zone densément bâtie, en sous-sol avec le maintien en fonction des commerces et des bureaux aux étages supérieurs.
Veillissantes et plus adaptées aux demandes des enseignes commerciales, une rénovation profonde des Galeries de la Toison d'Or furent planifiés depuis 2007 en partenariat 50% ING Real Estate et 50% par la famille Gillion. Les travaux débutèrent en 2008 pour se finaliser en 2010. L'ouverture des nouvelles surfaces commerciales des Galeries de la Toison d'Or, en juillet 2017, furent un véritable succès et un renouveau pour tout le Quartier de la Toison d'Or.
Les Galeries de la Toison d'Or abritent, à présent, 80 magasins sur une surface de 14.000m², le cinéma UGC et le Théâtre de la Toison d'Or.
Le Restoroute de Wanlin
Véritable restaurant-pont, le restoroute de Wanlin, bien connu de tous par son aspect d'un cathédrale, représente la porte d'entrée des Ardennes belges.
Cette réalisation couvre à une dizaine de mètres de haut, les chaussées de l'autoroute E411 par un tablier en béton de forme trapézoïdale régulière de 1.860 mètres carrés. Ce plateau s'appuie, de part et d'autre de l'E 411, sur un bipode, ainsi que, dans l'axe de la berme centrale, sur un voile de béton.
Évocation des collines d'Ardenne par sa forme, le bâtiment développe son volume dans deux structures identiques créant une échancrure. Ces structures formées avec des charpentes en lamellé collé dont les éléments constitutifs sont assemblées par des noeuds métalliques invisibles et fixées au tablier en béton armé. Ces poutres en lamellé collé étaient les plus grandes réalisées en Belgique à l'époque.
L'échancrure centrale qui, du dehors permet aux usagers de voir le ruban autoroutier se poursuivre à l'horizon, est fermée par des verrières réfléchissantes sur lesquelles de l'eau, circule en circuit fermé. Un couloir central dessert une vitrine touristique de 250 mètres carrés comportant des surfaces de vente, un restaurant de 300 couverts et une salle de 80 places à l'une de ses extrémités.
L'échangeur de la Pède à Anderlecht
L'échangeur de la Pède situé à Anderlecht constitue un élément essentiel du Ring de Bruxelles. Cette autoroute urbaine servant de boulevard périphérique à la Région bruxelloise permet la liaison des Régions flamande et wallonne. Véritable noeud autoutier, il fut l'un des premiers tronçons a été construit à la fin par Gillion en 1962 en tant que jonction de l'autoroute Bruxelles-Paris. Cette période urbanistique correspond à l'utopie des autoroutes urbaines. Il était prévu au départ de créer une ceinture complète autour de la Région bruxelloise, passant même par le centre des communes bruxelloise d'Anderlecht, d'Uccle et Forest. Ces parties du projet du Ring furent abandonnées vu le coût de construction de tunnels là où ils auraient été rendus nécessaires pour ménager des quartiers résidentiels et éviter une percée à travers la forêt de Soignes.
L'ensemble du Ring de Bruxelles représente une boucle autoroutière de 75 kilomètres à grand débit avec environ 7 millions de véhicules qui l'empruntent chaque jour car elle est aussi bien utilisée pour circuler vers Bruxelles que pour transiter. Il est le point central du réseau autoroutier belge permettant de contourner l'agglomération bruxelloise.
La construction par Gillion de l'imposant échangeur de la Pède à Anderlecht constituait une véritable prouesse technique pour l'époque. Elle représente une véritable vitrine de l'expertise de l'entreprise dans le domaine des ouvrages routiers de génie civil.
L'INR et la Maison de la Radio
La création en 1930 de l’INR mit fin aux années pionnières de la radio. Face au développement de ce média, un édifice de diffusion de conception contemporaine devenait indispensable. A l’issue du concours lancé en 1933, un jury couronne le projet de l’architecte belge Joseph Diongre.
Le bâtiment de l'INR combine le souci de recherche architecturale à la volonté de répondre aux exigences acoustiques et techniques les plus sévères. L’originalité du concept réside également dans la dimension d’accueil du public ainsi que dans le raffinement du détail, les matériaux utilisés et la création d’un mobilier adapté. Par la sobriété et le pragmatisme de sa conception, Gillion a réalisé la construction, de 1935 à 1938, ce bâtiment emblématique en Région bruxelloise. Souvent appelé le Paquebot, il constitua « l’usine à sons » tant souhaitée et l’une des premières maisons de la radio en Europe.
Dès son lancement, le paquebot connaît une notoriété internationale. La qualité des studios (en particulier le Studio 4) est reconnue mondialement et attire les musiciens les plus prestigieux pour des concerts, des festivals ou des enregistrements (musique classique, contemporaine, jazz). Liée à la création radiophonique et musicale, le bâtiment voit en 1953 l’avènement de la télévision. Le bâtiment devint ainsi pendant plus de trente ans le pôle audiovisuel par excellence. Lorsque les occupants d’origine quittèrent le bâtiment en 1974, celui-ci allait héberger, et ce jusqu’à sa fermeture en 1995, plusieurs institutions culturelles lui donnant ainsi une nouvelle dimension.